22 septembre 2008
L'élégance de Proust... un délice...
je ne me laisse jamais influencer par les perturbations de l'atmosphère ni par les divisions conventionnelles du temps. Je rehabiliterais volontiers l'usage de la pipe d'opium et du kriss malais, mais j'ignore celui de ces instruments infiniments plus pernicieux et d'ailleurs platement bourgeois, la montre et le parapluie.
Du côté de chez Swann
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